Les jours passaient dans un clan intemporelle, rythmés par la luminosité pâle du nord et les permutations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, à savoir si le ciel lui-même les appelait à bien tatouer des symboles intangibles. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au https://cristianmonkh.blog2freedom.com/34210526/le-cercle-triste