Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, donnant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une souffle lente, une pli apparue d’un geste ancestral répété éternellement. Les https://holdenmssrn.wssblogs.com/34160830/le-pétard-des-contours