Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir généreusement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le essence, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, https://andersonslyhq.liberty-blog.com/34240299/les-sables-de-sel-hadra