Dans l’enceinte subtilement hermétique du noyau d’appels, les vendeurs continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre méditation perspicace et épuisement diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels via une interface adaptative, ajustée à son profil mentale. Aucun contact visuel, zéro https://shanedebyu.dgbloggers.com/34407736/le-milieu-d-appels-des-disparus