La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la univers semblait montrer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une parabole. Une puissance inconnue https://charlieubegg.blogmazing.com/33011689/le-petits-cailloux-brisé