La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son boulot dans l’ombre tamisée de son atelier. Son emploi à broder, fidèle compagnon de ses guidances silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses doigt. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, notamment si chaque https://lukasixiry.vidublog.com/32850476/les-fils-du-pouvoir