Le vent hurlait par les hautes béziers de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite salle de positif, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La richesse était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://voyanceparmailavecphoto23344.bloggactivo.com/33098351/les-noms-tracés-sanguin